Meurtre à Cape Cod

 

Titre : Meurtre à Cape Cod
Auteur : Mary Higgins Clark
Genre littéraire : Nouvelle/Thriller
Année de parution : 2020
Éditeur : Albin Michel
ISBN : 978-2226445483
Nombre de pages : 324 pages
 
Du Passager clandestin, sa toute première nouvelle publiée en 1956, en passant par Meurtre à Cape Cod, où l’on retrouve ses célèbres héros Willy et Alvirah, jusqu’à La mort porte un masque de beauté, texte inédit et point d’orgue de ce recueil, Mary Higgins Clark donne ici toute la mesure de son talent de nouvelliste.
Trahisons, cupidité, rivalités familiales et amoureuses ; on retrouve les thèmes chers à Mary Higgins Clark dans ces récits ciselés et haletants, à la hauteur des plus grands romans de celle qui restera à jamais la reine incontestée du suspense.

Au fil des ans, je ne me souviens plus du nombre de romans que j’ai pu lire de Mary Higgins Clark. C’est une auteure que j’apprécie et il me reste tant de livres encore à lire d’elle. C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je me suis plongée dans ce recueil de nouvelles en espérant y découvrir quelques pépites! En fait, il y a trois nouvelles qui ont retenu mon attention.

En premier lieu, il y a bien évidemment celle dont le livre porte le nom : Meurtre à Cape Cod. Un nouveau couple de gagnants à la loterie se retrouve à Cape Cod. En lisant le synopsis, je me suis rendu compte que je ne connaissais pas ce célèbre duo et je dois avouer que cette nouvelle m’a donné le goût de découvrir plus en profondeur ces deux héros. Surtout Alvirah qui m’a semblé bien sympathique malgré sa tendance à vouloir s’immiscer dans la vie d’autrui. Ce fut une courte nouvelle, mais qui a réussi à me séduire et à me donner le goût d’en apprendre un peu plus sur les protagonistes.

Il y a également la nouvelle Un crime passionnel où l’on y retrouve l’ancien président des États-Unis et sa jeune épouse, Sunday. J’ai un vague souvenir d’avoir lu autrefois un récit où l’on y retrouvait ces deux protagonistes. Cette nouvelle date de 1996 donc il est fort possible qu’avec ma mémoire de poisson, j’ai déjà lu cette nouvelle. Toujours est-il que j’ai adoré ce couple et leur complicité. La nouvelle était un peu courte et j’en aurais bien pris un peu plus. Tout comme pour le couple de Willy et Alvirah, je vais regarder les romans de l’auteure pour savoir s’il y a d’autres récits mettant en vedette Henri et Sunday.

Et finalement, il y a la dernière nouvelle de ce recueil : La mort porte un masque de beauté. Cette nouvelle fut en parti rédigée au cours des années 70, mais finalisée en 2015. Au cours de cette nouvelle, je dois avouer que l’auteure a su me captiver et me surprendre. Cette nouvelle-ci est un peu plus longue, cela permet donc d’y insérer un plus grand suspense. La finale m’a vraiment surprise. Le mobile tout autant!

C’était intéressant de pouvoir constater l’évolution de la plume de l’auteure. Les premières nouvelles écrites en début de carrière ne m’ont pas totalement séduite, je crois qu’elles ont mal vieilli. Mais au final, j’ai vraiment passé un moment de lecture bien agréable et cela m’a donné le goût de découvrir les autres romans de l’auteur que je n’ai pas eu encore la chance de lire.

Ma note : 16/20

Je remercie la maison d'édition Albin Michel qui m'a offert ce recueil de nouvelles!






Commentaires

  1. Très beau et bon blog.

    Je viens juste de finir ce livre de la regrettée Mary Higgins Clark. J'ai trouvé une auteure très créative pour ce recueil de nouvelles. Néanmoins un peu longuet par moment à mon goût.

    J'ai un blog que je reprends aujourd'hui

    www.julien-au-pays-des-livres.over-blog.org

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    Réponses
    1. Merci pour ton passage et les bons mots :) Pour ce recueil, pour ma part, j'ai trouvé les premières nouvelles écrites moins palpitantes mais c'était intéressant de voir l'évolution de la plume de l'auteure au fil des ans.

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