La forêt aux violons
Lorsque je lis, je place toujours quelques post-its afin de pouvoir relire les passages qui m’ont touché. Alors que je m’apprête à rédiger cette chronique, je relis une autre fois ces passages et l’émotion est toujours aussi vive. J’espère que les mots que je choisirai, pour vous décrire ce roman, seront à la hauteur car c’est une vraie petite d’or!
La plume de cet auteur est tout simplement sublime. Les mots… les phrases ont su faire vibrer la corde sensible de mon cœur. Il a le talent de pouvoir ajouter profondeur et intensité au récit, et ce, en peu de mots. Les chapitres sont courts, mais il n’aurait pas été nécessaire d'en ajouter plus. Tout est là, tout est parfait!
Certains passages m’ont donné des frissons alors qu’à d’autres, j’en avais les larmes aux yeux. Très peu d’auteurs ont réussi à me faire vivre des émotions aussi intenses, mais Cyril Gely y est parvenu. La magie des mots, voilà le talent d’un grand auteur.
Les mots me manquent pour
vous décrire à quel point j’ai apprécié ce roman. C’est simple : j’ai
ressenti un gros coup de cœur! Ce roman est un hymne à la musique, à l’amour.
Il fait un bien immense à l’âme et j’en ressors fortement ébranlée. Assurément,
ce roman restera gravé dans ma mémoire et mon cœur pour longtemps!
C’est un monde, répondit Antonio. Un
monde avec deux petites fenêtres en forme de f. Et qu’y a-t-il à l’intérieur?
De la musique, divine. Entendre un violon c’est entendre Dieu. C’est entendre l’univers.
L’inaccessible.
Ma
note : 20/20
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