Titre :
Cinquante-deux reflets
Auteur : Pierre
Thiry
Genre littéraire
: Poésie
Année de
parution : 2022
Éditeur :
Autoédité
ISBN :
978-2322436330
Nombre de pages
: 125 pages
Dans ce livre, dialoguent des
structures, des décors, des actions, des personnages. Ce recueil est donc une
scène où se succèdent quatre mouvements ou plutôt quatre chapitres intitulés
Miroitements (1), Décors (2), Danses et rythmes (3), Aux risques du vent (4).
Miroitements est ici à comprendre comme l'impression générale laissée sur la
rétine de l'oeil, ou comme un rassemblement de divers tableaux enregistrés par
la surface sensible d'un papier photographique. Ici, c'est la forme textuelle
du « triple triolet » qui joue le rôle de support. Le premier chapitre de ce
recueil est à lire comme une matière de structures de fictions à développer, à
penser ou à rêver. Décors (2) est à entendre comme une réserve de lieux,
d'accessoires, de paysages, de fonds d'image, d'espaces. Le deuxième chapitre
vise à offrir de nouvelles scènes de tournages à l'imagination du lecteur. Les
deux derniers chapitres offrent quant à eux un répertoire d'actions et une
galerie de personnages. Ce livre est aussi un recueil de poésie. Il se rythme
avec cette antique et belle question: Qu'est-ce que la poésie ? Une cadence de
triple triolet traverse l'ensemble de ces pages. À chaque lecture d'apporter la
substance d'une voix nouvelle à cette matière textuelle.
La préface de ce recueil a été rédigée
par Christian Robert, auteur de fables et de nouvelles, ancien professeur de
lettres et coauteur (sous le pseudonyme de Robert Vincent) de plus d'une
dizaine de romans policiers déjantés.
Je suis à la fois étonnée
et heureuse que l’auteur m’ait offert de lire son recueil de poésie. Je n’ai
pas étudié en arts et lettres, je ne suis donc qu’une lectrice comme les
autres. Ce n’est donc pas sur la forme, mais plutôt sur mon ressenti que je
vais exposer mes éléments au cours de cette courte chronique.
En premier lieu, je tiens
à mentionner que j’adore lire des poèmes, mais je n’ai jamais lu un recueil du
début jusqu’à la fin. Je suis plutôt une lectrice qui ouvre au hasard un livre
de poésie et je lis quelques poèmes. Et puis, je repose le livre.
Le recueil de Pierre
Thiry étant divisé en quatre parties, j’ai donc lu un chapitre par jour. Je ne
connaissais pas du tout ce qu’était un triolet, me voilà plus instruite. Cette
forme de poésie ne doit pas être facile à écrire… personnellement, j’ai trouvé
cela bien agréable à lire.
Pour moi lire de la
poésie, c’est lire et relire certains passages pour bien s’imprégner du poème.
J’en suis ressortie de cette lecture avec plusieurs petits post-its sur mon
livre. La raison est bien simple, j’ai apprécié plusieurs poèmes et je tiens à
les relire encore et encore. Cinquante-deux reflets m’aura fait découvrir un
univers fantastique.
Ma
note : 17/20
Je remercie chaleureusement l'auteur qui m'a offert ce joli recueil!
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